jeudi 24 décembre 2009

Après Copenhague

Bien sûr c'est une déception. Mais on pouvait s'y attendre avec la règle de l'unanimité.
Il reste que tous les pays de la planète se sont réunis pour discuter des risques de réchauffement climatique et de montée des eaux liés à une accumulation exagérée d'émissions de Gaz à effet de serre.
L'accord a minima intervenu est une reconnaissance internationale de la nécessité d'agir pour contrer les conséquences de ces risques.
Aujourd'hui, la France et l'Europe, maintenant identifiée par son Président, se doivent de trouver de nouveaux moyens d'être présent dans le débat pour ne pas laisser la planète aux mains des EU et de la Chine.
Clairement, un nouveau modèle de développement évitant les extrêmes, l'anarchie spéculative d'un côté, les dictatures de l'autre, doit permettre plus de démocratie et de transparence dans l'utilisation modérée des ressources de la planète.
Et ajouterai-je, dans le respect de la dignité humaine. La population mondiale continue de croître mais moins vite qu'avant. Seule l'amélioration du niveau de vie permettra aux jeunes d'acquérir une paternité responsable dans les pays pauvres. A nous de les aider à y parvenir.

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